Il était une fois un jeune homme,
Qui avançait dans la nuit.
A la recherche d'une occupation.
Vêtu d'un pagne et de tongues comme seule tenue,

Ne se dirigeant que par la lumière de la lune.
Dans le vent furieux, les vagues se déchainaient, il ferma les yeux, se vida l'esprit de tout ce qui n'était pas d'"elle".
Un souvenir lui revient à l'esprit
Son amour de sa vie, la belle vampire : Laurelin.

Cette jeune femme au regard de glace.
Des cheveux aussi noir que la nuit, une peau aussi pure que le cristal, tout son corps est un appel au pêché.
Mais même la tentation du baiser enflammé par ses lèvres glacées ne pouvait lui faire oublier sa condition.
Ainsi soit la vie d'une damnée où la solitude est son seul compagnon et lui simplement humain un ombre sûr son passage.

En face, le lac redevenu calme reflétait la lune.
Mais tandis qu'il frissonne au souvenir des baisers de Laurelin, une image s’impose brusquement à son esprit : un regard d’encre qui capte le sien, et deux canines brillantes que laissent entrevoir des lèvres charnues.

Deux mains le caressant tendrement.
Faisant remonter des frisons dans tout son être.
Répondant à cet appel, il se retourne vers son nouveau compagnon et les deux hommes se font face.
Le second questionna le premier sur son état pensif.


-Mon magnifique amour, penses-tu encore à cette démone glaciale alors qu'un sublime lycan se tient devant toi ?
Il ne voulait pas lui répondre, de peur de lui faire du mal.

Alors il se tut un moment, le temps de trouver la réponse la plus douce.
Se forgeant dans la chaleur que lui insuffle l'amour profond de son loup, il lui répondit :

-Notre triumvirat ne peut continuer si vous n'arrivez pas à vous aimer l'un l'autre.
le ton de sa voix lui rappeler qu'il était un chasseur pur et dur
La bête intérieure gronda un instant et la peau du lycan commença à vibrer mais l'amour fut plus fort et il réussit à se calmer pour conserver son humanité.

Le loup glissa une main dans celle de son compagnon : -"viens, marchons un peu ensemble."

Il était une fois un jeune homme,
Qui avançait dans la nuit.
A la recherche d'une occupation.
Vêtu d'un pagne et de tongues comme seule tenue,

Ne se dirigeant que par la lumière de la lune.
Dans le vent furieux, les vagues se déchainaient, il ferma les yeux, se vida l'esprit de tout ce qui n'était pas d'"elle".
Un souvenir lui revient à l'esprit
Son amour de sa vie, la belle vampire : Laurelin.

Cette jeune femme au regard de glace.
Des cheveux aussi noir que la nuit, une peau aussi pure que le cristal, tout son corps est un appel au pêché.
Mais même la tentation du baiser enflammé par ses lèvres glacées ne pouvait lui faire oublier sa condition.
Ainsi soit la vie d'une damnée où la solitude est son seul compagnon et lui simplement humain un ombre sûr son passage.

En face, le lac redevenu calme reflétait la lune.
Mais tandis qu'il frissonne au souvenir des baisers de Laurelin, une image s’impose brusquement à son esprit : un regard d’encre qui capte le sien, et deux canines brillantes que laissent entrevoir des lèvres charnues.

Deux mains le caressant tendrement.
Faisant remonter des frisons dans tout son être.
Répondant à cet appel, il se retourne vers son nouveau compagnon et les deux hommes se font face.
Le second questionna le premier sur son état pensif.


-Mon magnifique amour, penses-tu encore à cette démone glaciale alors qu'un sublime lycan se tient devant toi ?
Il ne voulait pas lui répondre, de peur de lui faire du mal.

Alors il se tut un moment, le temps de trouver la réponse la plus douce.
Se forgeant dans la chaleur que lui insuffle l'amour profond de son loup, il lui répondit :

-Notre triumvirat ne peut continuer si vous n'arrivez pas à vous aimer l'un l'autre.
le ton de sa voix lui rappeler qu'il était un chasseur pur et dur
La bête intérieure gronda un instant et la peau du lycan commença à vibrer mais l'amour fut plus fort et il réussit à se calmer pour conserver son humanité.

Le loup glissa une main dans celle de son compagnon : -"viens, marchons un peu ensemble."
Sa paume était chaude et ferme, l'homme sentit un courant lui parcourir le corps mais il arriva à refouler son envie charnelle.

Il était une fois un jeune homme,
Qui avançait dans la nuit.
A la recherche d'une occupation.
Vêtu d'un pagne et de tongues comme seule tenue,

Ne se dirigeant que par la lumière de la lune.
Dans le vent furieux, les vagues se déchainaient, il ferma les yeux, se vida l'esprit de tout ce qui n'était pas d'"elle".
Un souvenir lui revient à l'esprit
Son amour de sa vie, la belle vampire : Laurelin.

Cette jeune femme au regard de glace.
Des cheveux aussi noir que la nuit, une peau aussi pure que le cristal, tout son corps est un appel au pêché.
Mais même la tentation du baiser enflammé par ses lèvres glacées ne pouvait lui faire oublier sa condition.
Ainsi soit la vie d'une damnée où la solitude est son seul compagnon et lui simplement humain un ombre sûr son passage.

En face, le lac redevenu calme reflétait la lune.
Mais tandis qu'il frissonne au souvenir des baisers de Laurelin, une image s’impose brusquement à son esprit : un regard d’encre qui capte le sien, et deux canines brillantes que laissent entrevoir des lèvres charnues.

Deux mains le caressant tendrement.
Faisant remonter des frisons dans tout son être.
Répondant à cet appel, il se retourne vers son nouveau compagnon et les deux hommes se font face.
Le second questionna le premier sur son état pensif.


-Mon magnifique amour, penses-tu encore à cette démone glaciale alors qu'un sublime lycan se tient devant toi ?
Il ne voulait pas lui répondre, de peur de lui faire du mal.

Alors il se tut un moment, le temps de trouver la réponse la plus douce.
Se forgeant dans la chaleur que lui insuffle l'amour profond de son loup, il lui répondit :

-Notre triumvirat ne peut continuer si vous n'arrivez pas à vous aimer l'un l'autre.
le ton de sa voix lui rappeler qu'il était un chasseur pur et dur
La bête intérieure gronda un instant et la peau du lycan commença à vibrer mais l'amour fut plus fort et il réussit à se calmer pour conserver son humanité.

Le loup glissa une main dans celle de son compagnon : -"viens, marchons un peu ensemble."
Sa paume était chaude et ferme, l'homme sentit un courant lui parcourir le corps mais il arriva à refouler son envie charnelle.
La nuit était déjà bien avancé mais le sommeil ne les gagnait pas, ils continuèrent leurs marche nocturne en se rapprochant des sous bois, un craquement retenti, ils sursautèrent, en se retournant ils découvrirent...